Trilogie

un film de Bashar Shbib

TRILOGIE (OR'D'UR, BETSY, AMOUR IMPOSSIBLE)

Compilation de trois docu-drama, longueur totale 89:00 min, 1983, 1984, 1986, 16mm, B&W/couleur, NTSC.

 

Synopsis

OR'D'UR

1983, Canada, Couleur, 16mm, 41 min. Docu-drama

Ce titre est une pièce sur le mot français ordure. Il s’agit d’un travail expérimental mettant en lumière des problèmes inhérents au film documentaire, sans parler du langage de quelques prostituées. Un groupe de garçon montréalais turbulent vit sous la protection d’une mère matrone coriace () qui dirige sa maison comme une auberge de jeunesse. Une tournure ironique sur le cinéma-vérité.

OR'D'UR.. a gritty, realistic look at male prostitution and sexual assault...an audacious, thought provoking work...one which raises important questions about the documentary idiom.
James Adams, Cinema Canada

JURY PRIZE, CANADIAN STUDENT FILM FESTIVAL 1984

BETSY

1984, Canada, Color, 16mm, 26 min. Comedy

Une comé die de camp (?) de moeurs sociales. Juste avant son opé ration, une transsexuelle annonce à son patron, à sa mère et au monde entier que son intention est d’épouser son amant hétérosexuel Maurice lors d’une rencontre que ces beaux parents tatillons de banlieue n’oublieront pas de sitôt.

...identification with the milieu...warmhearted...lasting humour...
Tom Waugh, The Body Politic

JURY PRIZE, CANADIAN STUDENT FILM FESTIVAL 1984

AMOUR IMPOSSIBLE

1986, Canada, Color/B&W, 16mm, 22 min. Docu-fiction

Transsexuels ? Travestis ? Skinheads ? Anarchie ? La vie dans la rue, faire le trottoir et racoler sont exploré es avec sophistication, une résonance émotionnelle et ce petit plus qui vous donnera envie de changer l’impossible en incroyable.

“ ...moving...dream-like, yearned love...”
Michel Beauchamp, 24 Images

Distribution & Équipe

OR'D'UR (PART 1)

AVEC : CLAIRE NADON, JOHN WIMBS
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : STEPHEN REIZES
SON : ANDREW KOSTER
MONTAGE : BASHAR SHBIB
MUSIQUE : LAURIE ANDERSON, CONDITION, ERIC LAGACÉ, DIANE DULUDE
SCÉNARISTE, PRODUCTEUR, RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB
AVEC LA PARTICIPATION DE : CONCORDIA UNIVERSITY ET THE NATIONAL FILM BOARD OF CANADA

BETSY (PART 2)

AVEC : JOHN WIMBS, CLAUDE BLANCHARD
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : STEPHEN REIZES
MONTEURS : STEPHEN REIZES, ANDREW KOSTER
SON : ANDREW KOSTER
PIANO : LUDWIG SEMERJIAN
SCÉNARISTE, PRODUCTEUR, RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB
AVEC LA PARTICIPATION DE : CONCORDIA UNIVERSITY ET THE NATIONAL FILM BOARD OF CANADA

AMOUR IMPOSSIBLE (PART 3)

AVEC : MICHELLE DEVILLE, MICHEL OICLE, JEAN-CLAUDE BUSTROS, ERIKA HAGENLOCHER
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : STEPHEN REIZES
MONTAGE : DENYSE OSTIGUY
SON : ANDREW KOSTER
MUSIQUE : DIMITRI SHOSTAKOVITCH
SCÉNARISTE, ET RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB

AVEC LA PARTICIPATION DE : CONCORDIA UNIVERSITY ET THE NATIONAL FILM BOARD OF CANADA'S FILMMAKER ASSISTANCE PROGRAM ET CANADA COUNCIL EXPLORATIONS

 

Tous droits réservés © 1984 Oneira Pictures International

Evixion

un film de Bashar Shbib

EVIXION

Fiction, Drame, 79:00 min, 1986, 16mm, couleur, NTSC.

Synopsis

Imaginez un récit surréaliste, sans dialogue, dans un style rappelant l’ère silencieuse des années 20 et vue à travers l’objectif d’une caméra voyeuriste en mouvement et enregistrant les allées et venues étranges de locataires marginaux. Un homosexuel âgé (Armand Munroe) et son amant toxicomane (Piotr Lysak), un couple mordu de fitness (Mark Bérubé and Daphna Kastner), une excentrique haıẗ ienne et son fils (Dalours Thornhill and Roland Smith), une diva punk et folle (Kennon Raines) ainsi que d’autres individus incongrus et étranges, unis pour éviter leurs évictions. Admiré-les se débattre dans l’anarchie tout en luttant contre les manoeuvres pernicieuses d’un propriétaire peu scrupuleux (Jean-Claude Gingras) et sa complice (Claire Nadon) qui tentent une bonne fois pour toutes de se dé barrasser d’eux.

"Non narratif, non linéaire..." ("Non narrative, non linear...")
Michel Euvrard, Le Devoir

"...il s'en dégage une cohérence certaine, un humour féroce et une grande fébrilité de cinéaste...de bizarroÎdes personnages punky, surréalistes et invisibles." ("...shows a sure coherence, a wild humour and a lively energetic direction...with outlandish, punkish, surreal, invisible characters.")
Michel Villeneuve, Liaison St-Louis

“Jewels in the garbage” and “The soundtrack...is an accomplishment on its own." and "...those who are attuned to the madly unconventional, will probably be entranced...”
Jay Scott, The Globe and Mail

"EVIXION...is alert, funny, unexpected and, at the same time, very structured, astonishingly rigorous."
Michel Euvrard, Le Devoir

“Une telle frénésie, une telle dépense d'énergie, une telle génrosité libertaire...” (“Such frenzy, such energy, such generosity...”)
Thierry Horguelin, Continuum

“...rabid sense of alienation.”
José Arroyo, Cinema Canada

“...an infuriating experimental film...for seekers after esoteric film making.”
Variety

Distribution & Équipe

AVEC : CLAIRE NADON, ROLAND SMITH, KENNON RAINES, PIERRE CURZI, PIOTR LYSAK, DAPHNA KASTNER, JEAN-CLAUDE GINGRAS, SUZANNE STARK, MARK BÉRUBÉ, DANUSHA HART, MICHELLE DEVILLE, ÉRIC GREGOR PIERCE, PIERRE RANCOURT, CAROLE IADELUCA, DALOURS THORNHILL, KATHY HORNER, FRANÇOIS GIROUX, SEAMUS WHEELAN, ACHRAF CHBIB, BRIGITTE HUPPEN, ARMAND MONROE
SCÉNARIO : BASHAR SHBIB, CLAIRE NADON, DAPHNA KASTNER, STEPHEN REIZES
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : DAVID WELLINGTON
CAMÉRA : SYLVAIN GINGRAS
SON : DOUG TAYLOR, MARIE-CLAUDE GAGNÉ
MUSIQUE : FRANCOIS GIROUX, LIVER AND JEAN LEBOEUF, JEAN-NOËL BODO
SOPRANO : SUSAN EYTON-JONES
PIANO : PAUL STUART
PRODUCTEUR, RÉALISATEUR ET MONTEUR PAR : BASHAR SHBIB

 

CE FILM EST PRODUIT AVEC LA PARTICIPATION FINCANCIÈRE DE:
TELEFILM CANADA
LA SOCIÉTÉ GENÉRALE DU CINEMA DU QUEBEC (SGCQ)
MAIN FILM

Tous droits réservés © 1986 Oneira Pictures International

Dirty Doll

un film de Bashar Shbib

DIRTY DOLL

Fiction, Comédie, TBA, 2020, HD, couleur, NTSC.

 

Synopsis

DIRTY DOLL est l’histoire d’un groupe poupées perdu et rejeté cherchant du sens à leurs existences. Les protagonistes et antagonistes animés et inanimés tentent de trouver un endroit où vivre dans ce Nouveau Monde. Ils démembrent leurs communautés et forment de nouvelles alliances avec des êtres imprévisibles parcourant la surface de leur luxuriante contrée.

 

Distribution & Équipe

AVEC : KAREN SEDGLEY, JAY GUZZO
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : J.-P. FORTIN
SON : 
SYLVAIN BROSSET
MUSIQUE: 
TBA
PRODUCTEUR ASSOCIÉE : 
EMMANUEL CAMPEAU
PRODUCTRICE EXÉCUTIF : 
MAÏA NADON-CHBIB
PRODUCTEURS : 
SYLVAIN BROSSET, J.-P. FORTIN
RÉALISATEUR : 
BASHAR SHBIB

 

Tous droits réservés © Oneira Pictures International

Clair Obscur (The Stork)

un film de Bashar Shbib

CLAIR OBSCUR (THE STORK)

Fiction, Musical, 75:48 min, 1988, 35mm, couleur, NTSC.

 

Synopsis

Sans dialogue, le film peint le portrait d’une vielle ferme en pleine campagne, non loin d’un village avec un unique hôtel. C’est ici où Edouard (Jack Spinner) vit avec son fils Philippe (Paul Babiak), son austère femme, Anne (Bobo Vian), et leur fille, Stéphanie (Barbara Zsigovics). Leur routine quotidienne est soudainement interrompue par l’énigmatique Pol (Susan Eyton-Jones), une chanteuse revenant dans le village après une absence de plusieurs années. Tombé sous son charme, Philippe se sent inexorablement attiré par l’hôtel où elle chante. En négligeant sa famille, des tensions commencent à apparaıt̂re.

Il s’ensuit une altercation entre le père et son fils: Edouard confronte Philippe sur son refus d’accepter ces responsabilités, ce qui entraine en une altercation physique.
Edouard fut blessé et resta cloué au lit. Pendant ce temps, bien qu’Anne soit la mère de l’enfant de Philippe, elle trouve de grandes difficultés à rallumer la flemme dans son mariage.

Obsédée par son désir de vengeance, elle se replie sur elle même de jour comme de nuit, devient somnambule. Les conflits entre les membres de la famille s’intensifient et l’arrivée inattendue d’une cigogne est le point culminant dans une fin turbulente, mais heureuse.

"... a feast of colour and detail ..."
Ina Warren, The Gazette

“Undeniably original... a daydream that oscillates between the innocent world of children and the violent one of adults... images are as moving as they are strange: the artistry serves both poetry and tenderness..."
Yves Lafontaine, 24 Images

“...the magical quality of the film is well-executed... a lyrical piece...impressions are felt, images linger, moods are drawn... colours are lush...”
Toby Zeldin, Cinema Canada

“A fairy tale for adults and opera lovers... Audacious!”
Francine Grimaldi, La Presse

Distribution & Équipe

AVEC : BOBO VIAN, PAUL BABIAK, SUSAN EYTON-JONES, JACK SPINNER, ATTILA BERTALAN, BARBARA ZSIGOVICS, WILLIAM KOSARAS, JEAN-CLAUDE LABRECQUE
SCÉNARIO : BASHAR SHBIB, MARYSE WILDER
MUSIQUE : FRANCOIS GIROUX, SUZANNE EYTON-JONES
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : STEPHEN REIZES
CAMÉRA : MICHEL LAMOTHE
SON : GLEN HODGINNS
CHIEF MONTEUR : ALBERT KISH
DIRECTEURS ARTISTIQUE : CLAIRE NADON, CATHERINE GAY
PRODUCTEURS EXÉCUTIFS : BASHAR SHBIB, HÉLÈNE VERRIER
PRODUCTRICE : HÉLÈNE VERRIER
RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB

CE FILM EST PRODUIT AVEC LA PARTICIPATION FINANCIÈRE DE:
LA SOCIÉTÉ GENÉRALE DU CINÉMA DU QUÉBEC (SGCQ)
TELEFILM CANADA

 

Tous droits réservés © 1988 Oneira Pictures International

Bone

un film de Eugene Garcia

BONE

Fiction, Drame, 76:07 min, 1998, 35mm, couleur, NTSC.

 

Synopsis

Bone raconte l’histoire de quatre amis pris dans une histoire périlleuse concernant le transport illégalement obtenu de matériel génétique jusqu’à la frontière.

De retour dans leur ville natale, Hadley (Marisa Malone) se retrouve en compagnie de son amant, Paul (Romano Orzari). Paul est un jeune homme diplômé qui comme beaucoup de sa génération est obligé de travailler pour le salaire minimum, travail qui se trouve être bien en dessous de ces capacités.

Pour toutes ces raisons, Paul souhaite dé missionner. Marty (David Andrew Barret) est un ami de longue date, qui traine souvent dans des affaires douteuses. Mais cette fois, Marty a une proposition alléchante pour Hadley et Paul, une arnaque facile et sûre qui pourrait leur rapporter à tous une belle somme.

L’idée est d’utiliser la position de Hadley comme agent de bord pour transporter un mystérieux colis lors d'un simple aller-retour et le tour sera joué! Encore méfiante, Hadley accepte cependant de rencontrer Marty et sa copine du moment, Jamie (Eva Gaspar). Jamie est une troublante beauté qui écrit de la poésie à son temps perdu, elle travaille également comme masseuse dans une pièce de son appartement dédié à cette activité. Les deux femmes partagent immédiatement une forte affinité l’une pour l’autre. Cette histoire prend un mauvais tournant, avec un début de paranoıä, lorsque le groupe rencontre Frankie, un truand et un dealeur (Mark Houghton). Ce dernier à une vision singulière des évènements au fur et à mesure qu’ils se déroulent.

 

Distribution & Équipe

AVEC : ROMANO ORZARI, MARISA MALONE, DAVID ANDREW BARRETT, EVA GASPAR, MARK HOUGHTON, PATRICK GARROW, BRENT RADFORD, DAVID DI SALVIO, LARRY COHEN, EUGENE GARCIA
PRODUCTEUR EXÉCUTIF : PIERRE LATOUR
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : JAY FERGUSON
MUSIQUE ORIGINAL : TITI REBO, TALAMASCA
SON: PIERRE MICHAUD, MICHEL GRZELAK, MICHEL LECOUFLE
DIRECTEUR ARTISTIQUE : ANTHONY BRAITHWAITE
MONTEUR : SUZANNE TURGEON
SCÉNARIO : EUGENE GARCIA
PRODUCTRICE ASSOCIÉE : MARIE-HÉLÈNE PANISSET
PRODUCTEUR : BASHAR SHBIB
RÉALISATEUR : EUGENE GARCIA

CE FILM EST PRODUIT AVEC LA PARTICIPATION FINANCIÈRE DE : SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES CULTURELLES (SODEC) GOUVERNEMENT DU QUÉBEC (Programme du Crédit d'Impôt) GOUVERNEMENT DU CANADA (Tax Credit Program)

 

Tous droits réservés © 1998 Oneira Pictures International

Almost Paradise

un film de Bashar Shbib

ALMOST PARADISE

Fiction, Drame, 82:25 min, 2014, HD, Canada, couleur, NTSC.

 

Synopsis

Catherine (Catherine Enoe) est une native de la Grenade et travail comme infirmière ambulatoire. Elle se déplace de patient en patient, les soignants et prenant le pouls d’une Grenade contemporaine. Elle nous révèle indirectement que dans ce monde pré supposé post colonial, de nouvelles formes de colonialisme sont toujours existantes sur cette il̂e presque paradisiaque.

 

Distribution & Équipe

AVEC : CATHERINE ENOE, VERA ENOE
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : J.-P. FORTIN
SONS : SYLVAIN BROSSET
MONTAGE : DORIN GOIAN, J.-P. FORTIN
PRODUCTEURS EXÉCUTIFS : MAÏA NADON-CHBIB, D.J. TURNER
PRODUCTEURS ASSOCIÉES : CHERYNE CHEBIB, SYLVAIN BROSSET
PRODUCTEURS : BASHAR SHBIB, J.-P. FORTIN
SCÉNARISTE : BASHAR SHBIB
RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB

Tous droits réservés © 2014 Oneira Pictures International

A Midsummer’s Wake

un film de Bashar Shbib

A MIDSUMMER'S WAKE

Fiction, Drame, 90 min, 2008, DV, couleur, NTSC.

 

Synopsis

Lea (Kim Prangley) et Andrew (Bashar Shbib) ont été agréablement mariés durant quinze ans.
L’incapacité de Lea à porter un enfant est ce qui causa le plus de désaccord dans leur union. Lorsque Andrew dé cé da lors d’une crise cardiaque foudroyante, les amis de Lea (Karina Chadwick, Alexandra Woodward, Christina Andrade-Sangster, Joan Andrade) l’entourè rent d’affection et d’aide. Se retrouvant lors de cette fin de semaine pour pleurer la perte de cet être chère, ces cinq femmes d’âge différent fortifièrent les liens qui les unissent les unes aux autres.

C’est dans la nature qui les entoure qu’on observe l’exercice bénévole opéré par celle-ci, tel un guide dans leurs quêtes personnelles. Cet éveil funèbre devint une opportunité pour ces femmes afin d’explorer le sens de leurs vies, celle de la mort, de l’amitié et de la passion. Un tel processus ne peut cependant pas avoir lieu en douceur. Lorsque des secrets enfouis émergent à la surface, la veuve et ces amis, éventuellement en vint à apprécier le cycle en oeuvre dans chacune d’entre elles, de mê me que dans le monde qui les entoure. A la fin, une révélation inattendue va amener chacune d’entre elles à redéfinir le mot amour.

A MIDSUMMER’S WAKE est un honnête et vibrant échange témoignant de sentiments poignants, d’émotions, d’amour, de sexe, et de révélation.

 

Distribution & Équipe

AVEC: KIM PRANGLEY, KARINA CHADWICK, ALEXANDRA WOODWARD, CHRISTINA ANDRADE-SANGSTER, JOAN ANDRADE, BASHAR SHBIB, MAÏA NADON-CHBIB,
MONTAGE: EYAD HAMAM
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE: TOLGA KUTLUAY
MUSIQUE ORIGINALE: MAXIME FILLION, GEOFF KLEIN
PRODUCTRICE ASSOCIÉES: J.-P. FORTIN, SYLVAIN BROSSET
PRODUCTEURS EXÉCUTIF: MAÏA NADON-CHBIB
SCÉNARISTE, PRODUCTEUR ET RÉALISATEUR: BASHAR SHBIB

Tous droits réservés © 2008 Oneira Pictures International

Mémoires

Un film de Bashar Shbib

MÉMOIRES

Fiction, Drame, 82:34 min, 1984, 16mm, couleur, NTSC.

 

Synopsis

« Un mariage élégamment chorégraphié et stylisé des bandes dessinées de Fassbinder et Archie, Memoirs fait à Montréal est une romance amoureuse s’inscrivant dans un contexte de fin du monde. Un jeune auteur au regard éclairé et idéaliste nommé Johnny Daze (Philippe Baylaucq) débarque en ville à la recherche d’un sujet sur lequel écrire. Ce qu’il trouve est une sombre allée oubliée, peuplée d’artistes, d’homosexuels, de prostituées, de travestis ainsi que de nombreuses mauvaises fréquentations. Sa propre perte ( et son initiation au côté obscur) lui apparut sous la forme d’une artiste femme fatale et ramasseuse d’ordures, autant envoutante que volatile, nommée Ida Rage (Norma-Jean Sanders).

À la manière d’un vampire, le film aspire tout réalisme psychologique et dramatique, le tout premier film de Bashar Shbib est un exercice de déconstruction des médias populaires qui prend le partie d’une esthétique proche de l’extrême apocalypse. « Si Bertholt Brecht avait dirigé Risky Business, cela aurait ressemblé à quelque chose comme ça ». - Geoff Pevere

"... a Timothy Leary nightmare after one cocktail too many."

Salem Alaton, The Globe and Mail

“... sinister, stylized New Wave melodrama ... visually interesting throughout, with a rhinestone-in-the-rubble look...”
Janet Maslin, New York Times

"Where has all the value gone?"
Mark Halleck, New York Native

"Imagine Fassbinder without the good acting, passionate intensity or naked self-awareness..."
Robert Strauss, Los Angeles Reader

Distribution & Équipe

AVEC : PHILIP BAYLAUCQ, NORMA-JEAN SANDERS, JULIA GILMORE, ROTWANG, CAROL IADELUCA, CLAIRE NADON, DIANE DULUDE, JENNIFER CLARK, DAVID CANDLEMAKER
CAMÉRA/DIRECTEURS DE LA PHOTOGRAPHIE : CHRISTIAN DUGUAY, BILL KERRIGAN
SON : GABOR VADNAY
MONTEURS : BASHAR SHBIB, AMY WEBB
MUSIQUE : "CONDITION", JULIA GILMORE, EDWARD STRAVIAK, PHILIP VEZINA
SCÉNARISTES : BASHAR SHBIB, JOHN BECKET WIMBS
BASÉ SUR LA PIÈCE ORIGINALE :THE MEMOIRS OF JOHNNY DAZE” PAR JOHN B. WIMBS
PRODUCTEUR ET RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB

Tous Droits Réservés © 1984 Oneira Pictures International

Le Regard de Gabriel

Un film de Bashar Shbib

LE REGARD DE GABRIEL - (En Post-Production)

Fiction,  90:00 min, 2020, HD, DV, 35mm, colour, NTSC.

 

Synopsis

Gabriel Young (Bashar Shbib) a survécu à un dysfonctionnement cardiaque et décide de changer son mode de vie. Il s’agit du quatrième film de la série en cours sur la vie du contestataire et quelque peu humoristique cinéaste indépendant. Gabe s’aventure sur des thématiques comme le vieillissement, la nostalgie, l’éthique de travail, la colère et la bonté. Ses interactions avec ses stagiaires démontrent un comportement de travail excentrique non recommandé pour une entreprise fonctionnant correctement.

 

Distribution & Équipe

AVEC : BASHAR SHBIB, SYLVAIN BROSSET, EMMANUEL CAMPEAU, TALA CHEBIB, JOSEF A. EASTMAN
PRODUCTRICE EXÉCUTIVE : MAÏA NADON-CHBIB
PRODUCTEURS : BASHAR SHBIB, SYLVAIN BROSSET, J.-P. FORTIN
DIRECTEURS DE LA PHOTOGRAPHIE : SYLVAIN BROSSET, J.-P. FORTIN
MONTEUR: DANIEL GABRIELLI
SON: SYLVAIN BROSSET
MUSIQUE : BASHAR SHBIB
DIRECTRICE ARTISTIQUE : BASHAR SHBIB
ÉCRIT ET RÉALISÉ PAR : BASHAR SHBIB

Tous Droits Réservés © 2021 Oneira Pictures International

15 Ugly Sisters

un film de Bashar Shbib

15 UGLY SISTERS

Fiction, Drame, 81:25 min, 1990, 35mm, couleur, NTSC.

 

Synopsis

Amelia (Kathleen Horner) et Lai (Andrea Sadler) sont deux soeurs vivant dans un village isolé en campagne. Leurs paisibles existences sont perturbées par l’arrivée de Slu (Atilla Bertalan) - un ancien amour d’Amelia qui a échappé de peu à la prison. Il passe une semaine avec les deux femmes. Devant la délicate et fragile beauté de Lai, Slu en devient désespérément attiré. Malgré les avances obstinées de cet homme envers elle, elle résiste et survient alors un mystérieux et à sens unique, triangle amoureux. Restant indifférente au désir qu’elle suscita chez lui, Lai se réfugia dans ses souvenirs de jeunesse, qu’elle raconte a travers la poésie et la chanson. Dans un moment de grande frustration, le fugitif tenta d’assouvir son désir envers elle contre sa volonté. C’est alors que Lai laissa place à la rage. Passion et tempérament se lèvent et tombent, éclatent et meurent, et lorsque le moment est venu, la mort. 15 UGLY SISTER est un film poétique qui explore des thèmes comme l’amour, l’attraction et les relations entre les individus.

Distribution & Équipe

AVEC : KATHY HORNER, ATTILA BERTALAN, ANDREA SADLER, BOBO VIAN, PAUL BABIAK
DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE : STEPHEN REIZES
SON : BASHAR SHBIB, ATTILA BERTALAN
MUSIQUE : SEBASTIAN TOETTCHER, MARK ROBSON, DREW LESSO, ARTHUR JARVININ
DIRECTION ARTISTIQUE : TERRY JOSEPH
MONTEURS : BASHAR SHBIB, RUBIN MASTERS
SCÉNARISTE, PRODUCTEUR ET RÉALISATEUR : BASHAR SHBIB

Tous Droits Réservés © 1990 Oneira Pictures International