Fiction, Drame, 84:00 min, 1997, 35mm, couleur, NTSC.

Harry (Robin Andrew Wilcock), un travesti à la fois digne, mais minable, écrit des drames diffusés à la radio. Une nuit, il se rend à la radio pour enregistrer sa dernière création  « Panic », qui porte sur une femme dont le plus grand souhait est d’avoir écrit Pulp Fiction. Harry est assisté de Jack (Patrick Garrow), un technicien du son à la fois machiste et homophobe. Le drame d’Harry suit les aventures de Marion (Diane Carlson), une auteur effacée et timide qui obtient une accalmie lorsqu’un éditeur (Dick Coward) lui offre une opportunité d’écrire une histoire en trois jours. Confrontée entre cette demande et l’échéance, elle expérimente le blocage de l’auteur. Empruntant un magnétophone à un ami.

Marion commence à chercher l’inspiration dans les conversations d’inconnu et développe un récit à propos de meurtre et d’intrigue survenant dans le monde de l’art. Peu à peu, elle se retrouve aspirée dans le monde fictif de deux magnifiques personnes (Alexandra Woodward, Domenic Carapella) dans d’exotiques circonstances, alors que la frontière entre fantasme et réalité devient de plus en plus floue.

Tandis que Jack observe Harry dans la cabine d’enregistrement, son initial mépris se transforme en curiosité puis en respect. Une prudente amitié se développe entre les deux hommes, démontrant au passage qu’ils ne sont pas si différents qu’ils le pensaient.

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